Ces moments durant lesquels le temps sourit, tu vois, je n’ai pas besoin de les prendre en photos immobiles et inertes..
Quand l’enfant essaie d’attraper les vagues bleues avec ses petites mains, son regard émerveillé et son gazouillement – rire, durant ces moments-la, j’arrête de respirer ,je crains de troubler et de perdre l’instant de ce bonheur présent.
Quand l’enfant capte le soleil dans ses yeux confiants envers moi et que ses meches libres jouent avec le vent, je comprends que je vis encore.
Et l’enfant prend le sable dans ses petites paumes, et le transfere des flots vers son univers à lui, et chante son innocence, et raconte son histoire aux coquillages portant le passé .
Je suis la, en attente, en adoration, devant ce miracle …
Amal
13/07/2010
* cette journee du 10 juillet,avec Karen, sur la plage de Herreh, nord-Liban
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